• Les nominés par catégorie  

    Découverte : Ameni Gospel Singers, musique gospel de la diaspora congolaise de France ; Brice Carel Demba Ntelo, avec l'album Renaissance de la diaspora congolaise de France ; Norba de Paris, avec l'album Inspiration de la diaspora congolaise de France ; Vamos à Brazzaville, avec l'album Kitoko, toujours de la diaspora congolaise de France ; et les frères Makouaya.

    Meilleur groupe, chorale ou individualité de la musique chrétienne : frère Kevin Mbaki de Brazzaville ; l'orchestre La Gloire de l'Éternel de Brazzaville, sœur Mireille Ngouma de Pointe-Noire ; sœur Crédo et son orchestre Espérance et Gloire de Brazzaville ; et sœur Cynthia Charlydriene de Brazzaville.

    Meilleur clip de musique chrétienne : la chanson Lobiko de Sr Fifi la Fleur de Brazzaville ; la chanson Motema de Sr Nocha de Brazzaville ; la chanson Sujet ya liboso de Fr Kevin Mbaki de Brazzaville ; et la chanson Tambola na ngaï de l'orchestre la Gloire de l'Éternel de Brazzaville.

    Meilleur spectacle de l'année : concert de présentation de l'album Amuse-gueule de Royal K au mess mixte de garnison de Pointe-Noire ; concert pour les élèves en classe d'examen à l'esplanade du Palais des congrès de Brazzaville de Sr Belle Agniélé ; concert de charité à la commune de Moungali à Brazzaville de Sr Fifi la Fleur ; concert du groupe BGH All stars à l'Institut français du Congo de Brazzaville.

    Meilleure chanson de la musique métissée : Bénédiction de DJ Love de Dolisie ; Ndjélé de Sissy Mananga de Brazzaville ; Le Mari de la nièce d'Achillle Moebo de Pointe-Noire ;Yaya de Sonia Bled de Brazzaville et Baratso de Sheryl Gambo de Brazzaville.

    Meilleur clip de musique typique : la chanson Le monde est méchant de Nzété Sexy Chocolat Chaud ; la chanson Tchoko-Tchoko de Trésor Ibesson de Brazzaville ; la chansonJe suis de Kadhafi Santos de Brazzaville ; la chanson Ainsi va la vie de Nzété Sexy Chocolat Chaud de Brazzaville ; la chanson Amuse-gueule de Yves St Lazare (Royal K de Pointe-Noire).

    La chanson étrangère la plus populaire : Porte-monnaie (album Avant-goût) de Ferré Gola de la République démocratique du Congo ; Ezi naga n'lo du groupe Ndi agha obé du Nigeria ; Alingo de P Square du Nigeria ; Azonto de Tiffany feat Dona du Ghana ; Adama(follow me) de Flavour du Nigeria.

    Diaspora : Jackson Babingui dans son album Bizaleli de France ; Ladys Arcade dans son album Bidilu de France ; Le Conquistador avec son album Première Vision de France ; Pierrette Adams dans son album Septième Jour de France et Michel Rafa dans son opusLubambu de France.

    Dans la catégorie meilleure chanson : la chanson Ainsi va la vie de Nzété Sexy Chocolat Chaud. Meilleur album : Terre sacrée, acte 3 de Lumière d'Afrique de Brazzaville ; Le monde est méchant de Nzété Sexy Chocolat Chaud de Brazzaville ; Amuse-gueule de Royal K de Pointe-Noire et Hymne national de Vision des stars de Brazzaville.

    Musique traditionnelle : l'ensembe Ami Boboto, dit Les Sirènes de la Likouala Mossaka, de Brazzaville est l'unique groupe nominé dans cette catégorie. Musique tradimoderne : GTK (un groupe traditionnel du département de la Likouala avec l'album Léonce, basé à Brazzaville. Les Mbéré junior avec l'album Leve le mva de Brazzaville et Bethy-Taba (Bébé chinois) avec son album Kimvuka makanda de Pointe-Noire.

    En attendant de découvrir d'autres lauréats dans la catégorie Prix du manager, sont déjà retenus le lauréat Primusik ; catégorie Valeurs d'Afrique, Fernand Mabala avec son Best off ; l'orchestre Dolisiana (formule originelle) ; Koutsaba avec la chanson Sounka tima et Fofana Moulady.

     La cérémonie

    L’acte 8 des «Tam-Tam d’or» s’est déroulé en présence d’un public estimé à plus de trois mille personnes. Un record. Dans une ambiance «fespamienne». Avec comme boutentrain: le groupe Team strong, Anthony, Archimède Bissouakidi, Patchely Prestige, Helena (Pointe-Noire), Caprice Dicone, Arcade, Lo Benel, Koutsaba, Fofana Moulady, Achille Mouebo, Passi, l’orchestre K Musica de Yves Saint Lazare, Fernand Mabala, Nzete Sexy Chocolat, Merlin Bouton, etc.

    Les trophées «Tam-Tam d’or» ont été attribués dans dix catégories, au lieu de douze prévues par le premier jury. Les prix de meilleur clip de musique typique et de chanson étrangère la plus populaire ayant été supprimés.

    Dans les catégories «Meilleure chanson» (où il n’y avait qu’un seul nominé) et «Meilleur album» (où il y en avait quatre), les jurés n’ont pas pu choisir de lauréats, mais ont décerné deux prix du jury à Nzeté Sexy Chocolat. Tout ceci, il faut le reconnaître, parce que, sur le plan musical, le millésime 2012 n’a pas du tout été bon. La catastrophe que le Congo a connue, le 4 mars, est, notamment, passée par-là.

    Ceci dit, voici les lauréats de la 8ème édition des «Tam-Tam d’or», qui ont reçu, chacun, un diplôme et une enveloppe dont le montant n’a pas été révélé.    

    Découverte: Ameni Gospel Singers; Brice Carel Demba Ntelo; Norba de Paris; et Vamos à Brazzaville, tous de la diaspora congolaise de France.
    Meilleur groupe, chorale ou individualité de musique chrétienne: Orchestre La Gloire de l’Eternel (Brazzaville).
    Meilleur clip de musique chrétienne: «Lettre archaïque», de Kevin Mbaki (Brazzaville).
    Meilleur spectacle de l’année: Concert pour les élèves en classes d’examen à l’esplanade du Palais des Congrès de Brazzaville, de Belle Agniélé.
    Meilleure chanson de la musique métisse: «Ndjélé», de Sissy Mananga (Brazzaville).
    Diaspora: Jackson Babingui; Ladys Arcade; Le Conquistador; Pierrette Adams; Michel Rafa (tous basés en France).
    Meilleure chanson: Néant. Prix du jury à Nzete Sexy Chocolat, pour «Ainsi va la vie».
    Meilleur album: Néant. Prix du jury à Nzete Sexy Chocolat pour «Le monde est méchant».
    Musique traditionnelle: Prix du jury: Ensemble «Ami boboto», ensemble traditionnel Elembe national.
    Musique tradi-moderne: prix du jury: GTK (groupe traditionnel de la Likouala, Brazzaville), Les Mbere junior (Brazzaville), Bethy-Taba (Bébé chinois), Pointe-Noire.

    Des prix du manager ont été aussi décernés à: l’orchestre Dolisiana (version originelle); Koutsaba, auteur de la célèbre chanson «Sukantima», composée dans l’orchestre Comirail de Makabana; Fofana Moulady; Eraste «Perroquet» (lauréat du concours Primusik, édition 2012); Fernand Mabala; Ong Ekongo; Sylvain Akouala (chanteur chrétien); club de football A.C. Léopards; Ed Chevry Diazz, initiateur du festival Rencontres des arts et des musiques chrétiennes (Ramc); Préfecture du Niari; Mairie de Dolisie; Conseil départemental du Niari; Brazza j’y crois (concept des associations Génération Plus et Les 4 chemins, pour voler au secours des victimes de la tragédie du 4 mars 2012); Eddie Gombé, producteur du spectacle Doudou Copa chante Pamelo Mounk’a.

     


    votre commentaire
  • Ambassade du Venezuela au Congo

    M. Aubin Benjamin KAYA et Mme Norman, Ambassadeur du Vénezuéla au Congo à l'IAE en mars 2014 lors de la conférence-projection sur Hugo Chavez

     

     

    Ambassade du Venezuela au Congo

    Photo de famille de Mme l'Ambassadeur avec les participants


    votre commentaire
  •  

    Yaoundé 1972

    Jecques Yvon NDOLOU, le Capitaine des Diables Rouges avec la Coupe 

    7 mars 1972 : Retour triomphal des Diables-Rouges 

    Le titre continental de champion dans la poche, Congo-Sport, devenu Diables-Rouges, rentre, le 7 mars 1972, au bercail. Un  retour pittoresque. Au pied de la passerelle de l’avion qui les ramenait, les autorités politiques et sportives sont envahies, curieusement, par une foule de supporters en délire, pressés de toucher ses héros et le mythique trophée, dès leur descente. Un tel déferlement n’avait jamais été vu. Dieu merci, ce fut, simplement, une explosion d’enthousiasme et de joie on ne peut plus canalisée. Voici le récit de cet événement, par le reporter de La Semaine Africaine.

    Des milliers de Brazzavillois, de toutes les origines, mardi 7 mars 1972, après-midi, à Maya-Maya. Ils sont venus de tous les quartiers, de la campagne. Certains sont de Pointe-Noire et Dolisie. Ils sont partout, jusque sur le malheureux toit de l’aéroport qui s’effondre, en laissant de nombreux blessés graves.
    Cette foule humaine grossit, vertigineusement. Elle avance. Elle avance, toujours, rompant le modeste cordon du service d’ordre. Il aurait fallu presque quelques bataillons pour l’empêcher de s’infiltrer, de s’approcher. La voici, maintenant, délirante, sur l’aire d’atterrissage. Elle nargue soldats et policiers. Elle refuse de se faire seulement raconter le retour au pays des vainqueurs de la 8ème Coupe d’Afrique des nations.
    Le spectacle dure deux, trois heures. Et trois heures durant, on scrute l’horizon. Chaque avion sera mitraillé par des milliers de doigts. Un avion arrive. C’est un avion d’Air Mali, qui, sans le vouloir, sans doute, assistera, tout à l’heure, lui aussi, au retour des champions et sera chargé de transmettre la chaleur congolaise à leurs courageux vaincus du Mali.
    Enfin, les voilà! A ce moment, l’Antonov de Lina Congo survole l’aéroport international Maya-Maya, et la foule, en décrivant quelques courbes. Quelques minutes plus tard, il se posera. Il roule. La foule, de plus en plus excitée, lui barre le passage. Il ne peut plus avancer. Des hélicoptères, de l’Armée populaire nationale, tournoient dans l’air.
    Que demande la foule? Que veut la foule? Que réclame-t-elle? Une chose. Voir la coupe, ses joueurs et mourir! Seulement dans cet enchevêtrement de corps, il sera assez difficile de le réaliser. Aussi le capitaine de l’équipe, Jacques Yvon Ndolou, et Bibanzoulou «Amoyen», l’entraîneur, exhiberont-ils, depuis l’appareil, le fameux trophée des Nations à la foule. Lentement, l’avion, escorté par cette foule gesticulante, hurlante, recommence de rouler. On penserait à un corbillard géant, tant femmes, hommes, enfants versent des larmes. Des larmes de joie. Les ovations continuent. Et pour échapper à l’enthousiasme effréné de cette foule des spectateurs, l’Antonov s’arrêtera jusqu’à la portière du gros car d’où les joueurs et la délégation gagneront Brazzaville…dans l’euphorie générale.
    Le cortège se dirige, alors, sur Bacongo, centre-ville, Poto-Poto, Moungali, Ouenzé… où, massés aux abords des avenues, les Brazzavillois lui réserveront un accueil jamais fait à une personnalité, depuis que ce sol use leurs talons. Sur les principaux carrefours, des orchestres rivalisent d’adresse. Le clou de la manifestation sera la présentation du trophée au Président de la République, à l’Etat-major général, en présence du maire de Brazzaville.
    Là, M. Mondelé Jean, directeur national des sports, s’adressant au chef de l’Etat, le Cdt Marien Ngouabi, entouré des membres du Conseil d’Etat et du Comité central présents à Brazzaville, devait déclarer: «Mission accomplie et objectif atteint».
    Prenant, à son tour,  la parole, le Cdt Marien Ngouabi a remercié les sportifs d’avoir accompli, humblement, la mission qui leur a été confiée par le Parti congolais du travail. Le Chef de l’Etat a, ensuite, indiqué que cette victoire n’appartenait pas seulement à la République Populaire du Congo, mais à tous les pays progressistes africains et, ensuite, à ceux d’Afrique centrale (...).  Le président de la République a exhorté les sportifs à tout mettre en œuvre, afin de «conserver, éternellement la Coupe»…

    (Extrait d’un article de Fulbert KIMINA-MAKUMBU/La Semaine Africaine n° 1008, du dimanche 12 mars 1972)
     

    Yaoundé 1972

    Debout. De g.à dr.: Samuel Boukaka, Félix Mfoutou, Ongagna «Excellent», Gabriel Ndengaki, Alphonse Niangou «Yaoundé», Ngassaki «Lénine», François M’Pelé, Maxime Matsima «Yachine», Augustin Ndouli «Rhyno». Accroupis: Bahamboula-Mbemba «Tostao», Paul Moukila «Sayal», Joseph Matongo «Secousse», Balekita «Eusebio», Minga «Pepé» et Mbono «Sorcier».

     

    Le Congo, Champion d'Afrique 1972 

    Quarante ans déjà! Décidément, le temps est vite passé. Nombreux sont encore les sportifs qui se souviennent de l’épopée glorieuse des Diables-Rouges, l’équipe nationale congolaise  de football, champions d’Afrique des nations de football, en 1972, à Yaoundé, au Cameroun. Le récit de ce couronnement nous est conté dans l’article ci-après.

    Le Congo peut être considéré comme l’un des vainqueurs le moins attendu de l’histoire de la Coupe d’Afrique des nations de football. Quatre ans après sa débâcle d’Asmara, capitale de l’actuelle République de l’Erythrée.
    L’événement a pour cadre le Stade Ahmadou Ahidjo flambant neuf, à Yaoundé. Cet après-midi du 5 mars 1972,  Yaoundé devient le nombril du football africain. Le monde entier l’a en point de mire. Il s’y déroule une grosse énigme: la finale de la 8ème Coupe d’Afrique des nations. Congo-Sport (l’appellation de l’équipe nationale du Congo, à cette époque là) est aux prises avec les Aigles du Mali. Comme en juillet 1965, au tournoi des 1ers Jeux africains, à Brazzaville, le Congo l’emporte sur son adversaire malien: 3-2.
    Au but malien de Moussa Diakhité (42e), Congo-Sport répond par ceux de Jean-Michel Mbono ‘’Sorcier’’ (57e et 59e) et celui du «Corse» François M’Pelé (63e).  Une sensation qui met les fourmis dans les gradins, où exulte une centaine de supporters congolais venue là on ne sait par quel miracle. Revenus de leur surprise, les Aigles du Mali réduisent l’écart par un autre Moussa –Traoré- (75e). La situation en restera là.

    Pourtant, Congo-Sport est arrivé au Cameroun précédé par le spectre de sa déroute d’Asmara. Le groupe B –basé à Douala- où l’a affecté le tirage au sort est si relevé qu’il y débarque presque dans l’hilarité générale. Il concède, d’entrée de jeu, le match nul (1-1, but congolais inscrit par ‘’Sayal ‘’ Paul Moukila) au Maroc d’Ahmed Faras. Pour se noyer, corps et biens, devant le Zaïre (0-2). Il termine, toutefois, sur une large victoire (4-2) face au champion en titre, le Soudan. Des buts portant les empreintes de  Mbono ‘’Sorcier’’ (14e et 29e), Bahamboula-Mbemba ‘’Tostao’’ (47e) et François M’Pelé (75e). C’est, semble-t-il, nettement insuffisant –à égalité de points et de buts avec le Maroc- pour prétendre disputer la demi-finale. C’est chose faite à l’issue d’un tirage au sort qui abandonne le Maroc au bord du chemin de Yaoundé et de la demi-finale.
    Congo-Sport monte, alors,  à Yaoundé, chargé de préjugés défavorables. Pour en découdre avec les Lions indomptables du Cameroun. L’on ne se fait guère de soucis, du côté camerounais, où l’on voit ni énigme ni suspense, à la rigueur une épreuve pour Congo-Sport.  Et pour cause. Quelques mois plus tôt, les Lions indomptables l’ont fait voler en éclats, at home: 0-7!

    Cette demi-finale est là. Sera-t-elle une simple formalité pour les Lions indomptables, bouffis d’orgueil? Le public camerounais y croit, unanimement, dur comme fer. Des monômes se forment, partout, pour commenter une qualification en gestation dans la tête de tout patriote camerounais.

    Hélas! Ce public n’entretiendra pas longtemps cet optimisme débordant, voire excessif. Il ne survit pas à la 30ème minute, quand, du pied gauche, Noël Minga ‘’Pépé’’, alerté par François M’Pelé, offre, contre toute attente, son but, sa victoire et sa qualification à Congo-Sport, dans un stade incrédule, effondré. Le public, inconsolable, verse de grosses larmes de déception…

    Au sortir de cette demi-finale, qui a tué la «Coupe», Congo-Sport doit pourtant patienter, pour connaître l’autre finaliste, son adversaire du 5 mars. D’autant plus qu’à Douala, les Aigles du Mali et les Léopards du Zaïre sont obligés de jouer les prolongations (1-1) pour pouvoir se départager. Ce sont, finalement, les Aigles du Mali qui se qualifient (4-3, un match à multiples rebondissements), pour la première fois, tout comme le Congo, d’ailleurs.

    Encadrement technique de Congo-Sport à Yaoundé 1972

    -Michel Oba (Directeur technique), 

    -Adolphe Bibanzoulou ‘’Amoyen’’ (Entraineur Principal)

    -Mayala ‘’Larbi’’ (Entraineur Adjoint)

     l’effectif suivant a participé à la compagne:

    -Maxime Matsima ‘’Yachine’’ (Diables-Noirs),

    -Gabriel Ndengaki ‘’Impfondo’’(Etoile du Congo),

    -Alphonse Niangou ‘’Yaoundé’’ (Diables-Noirs),

    -Jacques Yvon Ndolou (Inter Club),

    -Joseph Ngassaki ‘’Lénine-Zeus’’ (CARA), 

    -Noël Minga ‘’Pépé’’ (Inter Club),

    -Jonas Bahambula-Mbemba ‘’Tostao’’ (Diables-Noirs),

    -François M’Pelé (Ajaccio/France),

    -Jean Bertrand Balekita ‘Claise’’ (S.C Toulon/France),

    -Joseph Matongo ‘’Secousse’’ (Diables-Noirs),

    -Jean-Michel Mbono ‘’Sorcier’’ (Etoile du Congo),

    -Paul Moukila (Inter Club),

    -Augustin Ndouli ‘’Rhyno’’ (Patronage Sainte-Anne),

    -Emmanuel Mayanda ‘’Combattant’’ (CARA),

    -Gilbert Poati ‘’Hidalgo’’ (V.Club Mokanda),

    -Paul Ntandou ‘’Vieux Paul’’ (Diables-Noirs),

    -Emmanuel Mboungou (CARA), 

    -Samuel Serge  Boukaka (Etoile du Congo), 

    -Paul Mbemba ‘’Thorex’’ (Inter Club),

    -Michel Ongagna ‘’Excellent’’ (Etoile du Congo),

    -Gabriel Samba ‘’Njoléa’’ (Diables-Noirs),

    -Félix Mfoutou  (Avenir du Rail).

    (D’après un article de Fulbert Kimina-Makumbu ‘’Pilote’’/La Semaine Africaine n°2197, du jeudi 11 mars 1999)
     

     

    Que sont devenus les Champion d'Afrique 1972 

    Le football africain a ses vedettes. Adulées par les fou les hystériques des stades, elles plongent, souvent, dans l’oubli, une fois leurs godasses à crampons rangées. Ainsi en est-il des Diables-Rouges, «héros de Yaoundé 72»,  entrés vivants au gotha du football, grâce à leur triomphe à la 8ème édition de la Coupe d’Afrique des nations de football, au Cameroun. Ils étaient quelque 22 amateurs, dans toute l’acception du terme, excepté François M’Pelé (A.C Ajaccio/France) et, dans une moindre mesure, Jean-Bertrand Balekita «Eusebio» (S.C Toulon/France). Que sont devenus ces enfants terribles, ces gars à la fougue et la détermination légendaires, auréolés le soir du 5 mars 1972, à Yaoundé?

    Les conquérants sont rentrés dans le rang. Et, c’est «la galère», pourrait-on dire, pour la plupart. Ils vivent dans un état indigne de champion. Et gèrent, pour tout dire, leur misère et le souvenir lointain de leur passé glorieux que rappelle, de temps en temps, la presse. Pourtant, ils ont sué sang et eau, pour ramener la fameuse coupe baptisée «Marie-Jeanne», mais n’avaient eu que des bribes, pour récompense: 50.000 francs Cfa et une parcelle de terrain.
    François M’Pelé, le bombardier, après une longue carrière en France, est revenu au pays, depuis 1982. Gravement malade, l’année dernière, on aurait déjà déchiré son acte de naissance, si la présidence de la République ne s’était pas hâtée de l’évacuer dans un hôpital, en France. En dépit de l’argent amassé en treize années de carrière professionnelle, à Ajaccio, au Paris Saint-Germain, au R.C Lens et au Stade Rennais, il ne vit pas une retraite dorée, à Pointe-Noire, où il s’est retiré.  Ses affaires, à Brazzaville et dans la capitale économique, n’auraient pas prospéré. Hélas!

    Ses coéquipiers ne sont guère mieux lotis, loin s’en faut.  Emmanuel Mayanda «Combattant», avant-centre devenu entraîneur, un peu plus tard, au CARA, son ancien club, à l’Union Sport Mbingui, et au Gabon, ronge son frein. Il n’est pas le seul à avoir embrassé le rôle, combien ingrat, d’entraîneur. Agent retraité du Ministère des sports, l’arrière droit Gabriel N’Dengaki «Impfondo» a fait long feu dans les clubs successifs qu’il a entraînés, à Brazzaville, Kinshasa, Libreville. Il est, désormais, sans club, après avoir claqué, cette saison sportive, la porte de Cuvette F.C d’Owando.

    Entraîneur de l’équipe nationale féminine, mais sans  contrat, il n’en tire pas le bénéfice escompté. Il en est de même pour le milieu de terrain Noël Minga «Pépé», l’homme au pied gauche libérateur. Officier militaire retraité, il est l’adjoint, mais sans contrat, du Français Jean-Guy Wallemme, à l’équipe nationale masculine seniors (il a été déjà entraîneur titulaire, deux ou trois fois). Le métier d’entraîneur ne nourrit pas encore son homme, au Congo, alors que les expatriés sont grassement payés.

    D’autres retraités de la fonction publique poursuivent leur voie dans une jungle inextricable de difficultés. Ce sont les cas de Gilbert Poaty «Hidalgo», Augustin Ndouli «Rhyno», Joseph Matongo «Secousse», Félix Mfoutou, Emmanuel Mboungou,  résidant tous, à Pointe-Noire, et Bahamboula-Mbemba «Tostao», Serge Samuel Boukaka, Gabriel Samba «Njoléa», à Brazzaville. On ignore, par contre, le sort du gardien de but Paul Ntandou «Vieux  Paul», l’ancêtre des grands gardiens de but congolais. Son bras étant fauché, semble-t-il par des débris d’obus, pendant la guerre de 1997, il a émigré, depuis lors,  en France, auprès de sa progéniture.

    Finalement, seul leur capitaine, à l’époque, Jacques Yvon Ndolou, général des F.a.c (Forces armées congolaises), s’en sort mieux. Il a été ministre délégué à la défense et, récemment, ministre des sports. Avec lui, dans une certaine mesure, Jean-Bertrand Balekita, colonel des F.a.c, lui aussi. Il est, actuellement, attaché militaire à l’ambassade du Congo à Cuba. Jean-Michel Mbono «Sorcier», fusil n°1 de la CAN 72, s’en sort tant bien que mal, lui aussi. Cadre retraité de la C.n.s.s (Caisse nationale de sécurité sociale), ce dernier a pris les rênes de la Fédération congolaise de football, par un tour de passe-passe. Il bénéficie des multiples avantages que confère cette fonction, désormais valorisée par la Fifa.

    Dernière vague,  ceux qui ont connu un destin tragique. Ils nous ont quittés, l’un après l’autre: Paul Mbemba «Thorex», le 2 novembre 1990; Alphonse Niangou «Yaoundé», le 5 avril 1992; Paul Moukila «Sayal», le 23 mai 1992; Ongagna «Excellent-Exce», le 7 décembre 1992; Maxime Matsima «Yachine-Diable-vêtu de noir», le 20 janvier 2003; enfin, Joseph Ngassaki «Zeus-Lénine», le 22 novembre 2005. Deux techniciens, Adolphe Bibanzoulou «Amoyen» (le 18 janvier 2003), entraîneur principal, et Jean-Michel Oba (2006), directeur technique national, ne sont plus, également, de ce monde… 

        Jubilé quarantenaire de «Yaoundé 72» 

    Quoi de mieux que l’instauration d’une journée de football, pour honorer les légendes de Yaoundé 72? C’est, en tout cas, la décision du gouvernement, pour célébrer l’unique sacre continental des Diables-Rouges, remporté, il y a quarante ans, au Cameroun, lors de la 8ème Coupe d’Afrique des nations. Les activités programmées à cette occasion ont débuté, dimanche 17 juin 2012.  

    Sur le plan sportif, des rencontres de football des minimes, parrainées par les Diables-Rouges, cuvée 2012, ont été disputées, l’après-midi, simultanément au Stade Dzabana Jadot, à Bacongo, au Stade Saint Denis, à Mpila, et au centre Olympafrica, à Talangaï.  

    Auparavant, le ministre des sports et de l’éducation physique, Léon Alfred Opimbat, le président du Comité national olympique et sportif congolais, Raymond Ibata, et celui de la Fécofoot (Fédération congolaise de football), Jean-Michel Mbono ‘’Sorcier’’, ont passé le début de la matinée à visiter, séparément, des anciens footballeurs internationaux (Robert Ndoudi ‘’Piantoni’’, Germain Gavo ‘’Moteur’’, Ambara Berulle, Christophe Ombelé) et journalistes sportifs (André Andréas Ossoungou, Jean Atarabounou, Ibahi Bahis et Salomon Pangou),  malades, chez eux. Des visites de réconfort pour témoigner de la reconnaissance du gouvernement et du mouvement sportif pour leur rôle dans l’inscription de notre pays dans les annales du football continental. 

    En fin de matinée, une messe d’action de grâces a été célébrée en la Basilique Sainte-Anne du Congo, à Poto-Poto. Où, peu avant sa fin, les rescapés de Yaoundé 72, se présentant, l’un après l’autre, à la chrétienté, ont été longuement ovationnés. 


    Au sortir de l’église, le cortège s’est, d’abord, ébranlé au cimetière du centre-ville, où le ministre Léon Alfred Opimbat a déposé une gerbe de fleurs sur la stèle des morts, ensuite, à l’hôtel où sont logés les Diables-Rouges actuels, de retour de Kampala. Les héros de Yaoundé 72, accompagnés de quelques médaillés d’or des Jeux africains de 1965 et d’autres célébrités du football congolais, à l’instar de Jean-Jacques Ndomba ‘’Géomètre’’, Gaston Nganga-Mwivi, Wamba ‘’La José’’, Antoine Bisseyou, Nkouka ‘’Courtois-Aleka’’, Gilbert Itsa ‘’Milou’’, Jacques Mamounoubala, ont posé pour la postérité, avec les Diables-Rouges 2012, symbole marquant la transmission de témoin entre la génération de Yaoundé 72 et la génération actuelle...



     

     

     


    votre commentaire
  • COUPE DU CONGO DE FOOTBALL  2014

    6e COURONNE POUR LES « NOIR ET JAUNE »

    La finale de la Coupe du Congo s'est disputée dans le nouveau stade de Sibiti, dans le département de la Lékoumou, en marge des festivités marquant le 54e anniversaire de l’indépendance du pays, le 14 août 2014. Elle a été remportée par l'équipe de Diables-Noires qui s'est imposée 2-0 face au CARA.

     

      

    Coupe du Congo 2014 de football


     

    Les Diables-Noirs de Brazzaville ont arraché leur finale de l’édition 2014 de la Coupe du Congo de football qui s’est déroulée, jeudi 14 août, à Sibiti. C’était la onzième finale de l’histoire sexagénaire des ‘’Jaune et noir’’. Les Diables-Noirs étaient face aux Aiglons qu’ils ont battus par 2 buts à 0. Pour accéder à cette première marche du podium, les protégés du Présidents Teddy Christel SASSOU NGUESSO ont validé leur ticket, aux dépens de l’A.C Léopards de Dolisie, en le contraignant au partage des points, après le score de parité (1-1), à l’issue du match retour des demi-finales disputé, mardi 5 août 2014, au Stade Denis Sassou Nguesso, le fief de leur adversaire.

    Les Diables-Noirs ont établi un joli record en disputant pour la onzième fois une finale de la coupe du Congo, après leurs participations de 1982, 1989, 1990, 1991, 1992, 2003, 2005, 2011, 2012, 2013.

    Ils sont six fois  vainqueurs de l’épreuve, aux dépens, respectivement, de la défunte Sucosport de Nkayi (1989), d’Inter Club (1990), de V. Club Mokanda (2003), de Patronage Sainte-Anne (2005), d’A.C Léopards (2012) et de CARA (2014). Les cinq finales perdues lui ont été arraché par l’A.S Cheminots (1982), le défunt Elecsport de Bouansa (1991), CARA (1992) et l’A.C Léopards (2011 et 2013).

    Une finale mal acquise ne profite pas : CARA en a fait les frais

    Nulle part au monde, on a jamais vu une équipe qui a aligné un joueur  non éligible puisse poursuivre la compétition. L’Etoile du Congo avait porté les réserves sur la qualification frauduleuse des joueurs de Cara le 22 juillet à l’issue d’un match qui s’était soldé sur un score d’un but partout. Elle a eu raison sur le cas Brandt Harris Tchilimbou Mavoungou qui a été prêté à Missiles FC du Gabon par l’ASP son club d’origine. Les preuves fournis par l’Etoile du Congo ont permis de déceler  l’erreur administrative commise par le secrétaire général de la section football de Cara et la commission ad hoc qui avait qualifié le joueur. La commission de discipline semblait appliquer l’article 58 du règlement de la compétition.   Le joueur et le secrétaire général ont été respectivement suspendus pour un an  et l’Etoile du Congo gagnait le match par pénalité avant d’ajouter qu’elle conservait également son but du match aller. Mais elle n’est pas allée au bout des sanctions prévues pouvait –on constaté. Pire encore, elle programme le match retour alors que l’article 61 du règlement indique que, « toute équipe à l’origine d’une fraude est disqualifiée de la compétition »  Visiblement l’Etoile du Congo a raison.  

    Etoile du Congo a refusé de jouer le match retour du 5 août et celui programmé le 8. L’équipe a donc été sanctionnée par un forfait. Les supporters de l’Étoile du Congo sont visiblement déterminés à faire le déplacement de Sibiti pour exprimer vivement leur mécontentement. C’est ainsi qu’une réunion tripartite a été organisé le 12 août à Brazzaville entre le ministère des Sports et de l’éducation physique, le Comité national olympique et sportif congolais (CNOSC) et la Fédération congolaise de football (Fécofoot). « Après concertation de ce jour, en présence des dirigeants de Cara et de l’Étoile, il a été retenu que les Aiglons joueront la finale de la Coupe du Congo le 14 à Sibiti », a fait savoir le premier vice-président de la Fécofoot, Guy Blaise Mayolas. Une décision déjà mentionnée dans l’avis d’homologation de la demi-finale retour, le 8 août.  Le président de la section football de l’Étoile, Christian Longangué.  A déclaré à l’issue de cette réunion que : « Le comble dans cette affaire, c’est que Cara qui a triché avec la complicité de la Fécofoot ne paiera même pas une amende. Surtout, les deux joueurs frauduleusement alignés lors de la demi-finale aller qui seront sur l’aire de jeu en finale face à Diables noirs. Cette décision traduit la volonté manifeste de la Fécofoot de tuer le football congolais »,

    Etant donné qu’une finale mal acquise ne profite pas, les Aiglons ont logiquement perdu la finale face aux Diablotins.

     

    (Par Aubin Benjamin KAYA, Alias Ben’K-AUBINSON)

     

     


    votre commentaire
  • Programme des matchs du championnat national 2014 (Phase retour)

    AC Léopards -Etoile du Congo, l'un des duels les plus attendus du championnat national ligue 1 cette saison (0-0  à l'aller)

    Classement de la mi- saison 2014-2015

    (à la 15e journée)

     

    Equipe  

    Matchs  gagnés

    Matchs perdus 

    GD 

    Points  

    AS Léopards D  

    13 

    0 

    28 

    41 

    Diables noirs  

    10 

    2 

    15 

    32 

    Etoile du Congo  

    7 

    4 

    4 

    25 

    A.S Kondzo  

    7 

    3 

    6 

    24 

    Inter-Club Bzv  

    7 

    5 

    0 

    24 

    Aiglons CARA  

    6 

    5 

    7 

    22 

    FC Bilombé  

    5 

    4 

    1 

    20 

    A.S Ponténegrine  

    5 

    4 

    -1 

    20 

    A.S Cheminots  

    5 

    6 

    -2 

    19 

    JST - Talangaï  

    5 

    7 

    -7 

    18 

    V-club Mokanda  

    4 

    7 

    -5 

    16 

    Patronage Ste Anne  

    4 

    7 

    0 

    15 

    La Mancha  

    4 

    9 

    -9 

    14 

    Tongo Club J.  

    4 

    8 

    -8 

    14 

    Saint-Michel O.  

    3 

    6 

    -4 

    14 

    Nico-Nicoyé  

    1 

    13 

    -25 

    4 

     

    Le classement des buteurs après 15 journées

    1.Kader Bidimbou de l’AC Léopards de Dolisie, 7buts.

    2.Kibongani Tekessala de V. Club, 7 buts chacun.

    3.Rudy Guelord Bhebey Ndey (AC Léopards), 6 buts ;

    4.Bomanyae Liema (Étoile du Congo), 5buts.

    5.Ebengo Liema (Diables noirs), 5buts.

    6.Nelson Franciel Ayessa (FC Bilombé), 5buts.

    Programme des matchs du championnat national 2014 (Phase retour)

    Diables-Noirs-Etoile du Congo, le plus vieux derby de la capitale congolaise qui cette année s'est soldé par la victoire des Diablotins 1-0 (à l'aller)

     

    Programme des match de la phase retour

    16e journée 

    Vendredi 4 juillet au stade Alphonse-Massamba-Débat à 15 heures 30 : Interclub-FC Kondzo

    Samedi 5 juillet au stade Alphonse-Massamba-Débat à 14 heures : Tongo FC – La Mancha et à 16 heures : Patronage Sainte-Anne- FC Bilombé. Au Complexe sportif de Pointe-Noire à 15 heures 30 : Nico-Nicoyé-Cara

    Dimanche 6 juillet au stade Alphonse-Massamba-Débat à 14 heures :  Jeunesse sportive de Talangaï (JST)- Diables noirs et à 16 heures : Saint-Michel de Ouenzé (SMO) - AC Léopards. Au Complexe sportif de Pointe-Noire à 14 heures : Association sportive Ponténégrine (ASP)- Étoile du Congo et à 16 heures : V Club-AS Cheminots.

    17e journée 

    Samedi12 juillet au stade Alphonse-Massamba-Débat à 15 heures 30 : FC Kondzo- Tongo FC. Au Complexe sportif de Pointe-Noire à 14 heures : La Mancha –SMO et à 16 heures :  AS Cheminots- Étoile du Congo

    Dimanche 13 juillet au stade Alphonse-Massamba-Débat à 14 heures : JST- Interclub à 16 heures : Cara-FC Bilombé. Au Complexe sportif de Pointe-Noire à 14 heures : ASP - V Club et à 16 heures Nico-Nicoyé- Diables noirs. Au stade Denis-Sassou- N’Guesso à Dolisie à 15 heures : AC Léopards- Patronage Sainte-Anne.

    18e journée 

    Vendredi 18  juillet au stade Alphonse-Massamba-Débat à 14 heures : SMO-Tongo FC et à 16 heures : JST- FC Bilombé

    Samedi 19 juillet au stade Alphonse-Massamba-Débat à 14 heures : Patronage Sainte-Anne- Nico-Nicoyé et à 16 heures : Cara-Étoile du Congo. Dimanche 20 juillet au stade Alphonse-Massamba-Débat à 14 heures :  FC Kondzo-AC Léopards et à 16 heures :Diables noirs-ASP. Au Complexe sportif de Pointe-Noire à 14 heures : V Club- La Mancha et à 16 heures : AS Cheminots- Interclub.

    19e journée 

    Samedi26 juillet au stade Alphonse-Massamba-Débat à 15 heures 30: Interclub- FC Bilombé. Au Complexe sportif de Pointe-Noire à 14 heures : La Mancha -JST et à 16 heures :  Nico-Nicoyé-FC Kondzo.

    Dimanche 27 juillet au stade Alphonse-Massamba-Débat à 14 heures : Patronage Sainte-Anne- Diables noirs à 16 heures : Cara-AS Cheminots. Au Complexe sportif de Pointe-Noire à 14 heures : ASP- SMO et à 16 heures V Club-Tongo FC. Au stade Denis-Sassou- N’Guesso à Dolisie à 15 heures : AC Léopards-Étoile du Congo.

    20e journée 

    Vendredi 1er août au stade Alphonse-Massamba-Débat à 15 heures 30: JST-ASP

    Samedi 2 août au stade Alphonse-Massamba-Débat à 14 heures :  Étoile du Congo-Patronage Sainte-Anne- et à 16 heures : FC Kondzo- Cara. Au Complexe sportif de Pointe-Noire à 15 heures30 : Fc Bilombé-Tongo FC  Dimanche 3 août au stade Alphonse-Massamba-Débat à 14 heures :  SMO-AS Cheminots et à 16 heures :Diables noirs-AC Léopards. Au Complexe sportif de Pointe-Noire à 14 heures : Nico-Nicoyé- V Club et à 16 heures : La Mancha- Interclub.

    21e journée 

    Vendredi 8 août au stade Alphonse-Massamba-Débat à 14 heures : Tongo FC-ASP et à 16 heures : SMO-JST

    Samedi 9 août au stade Alphonse-Massamba-Débat à 14 heures : FC Kondzo- La Mancha  et à 16 heures : Etoile du Congo-FC Bilombé. Dimanche 10 août au stade Alphonse-Massamba-Débat à 14 heures :  Interclub-Nico-Nicoyé et à 16 heures :Diables noirs-AS Cheminots. Au Complexe sportif de Pointe-Noire à 15 heures30 : V Club- Patronage Sainte- Anne et au stade Denis Sassou-N’Guesso à Dolisie à 15 heures 30 : AC Léopards-.Cara.

    22e journée : 

    Samedi16 août au stade Alphonse-Massamba-Débat à 14 heures : Tongo FC-Nico-Nicoyé et à 16 heures : SMO-Patronage Sainte-Anne. Au Complexe sportif de Pointe-Noire à 15 heures 30 : ASP- FC Kondzo

     Dimanche 17 août au stade Alphonse-Massamba-Débat à 14 heures :  Cara-La Manchaet à 16 heures : Étoile du Congo-Diables noirs. Au Complexe sportif de Pointe-Noire à 14 heures: V Club- FC Bilombé et à 16 heures : AS Cheminots-JST et au stade Denis Sassou-N’Guesso à Dolisie à 15 heures 30 : AC Léopards-.Interclub

    23e journée 

    Samedi23 août au stade Alphonse-Massamba-Débat à 14 heures : Etoile du Congo-SMO  et à 16 heures : Tongo FC- Interclub. Au Complexe sportif de Pointe-Noire à 15 heures 30 : La Mancha-Patronage Sainte-Anne

     Dimanche 24 août au stade Alphonse-Massamba-Débat à 14 heures : JST-Nico-Nicoyé  et à 16 heures : FC Kondzo-AS Cheminots. Au Complexe sportif de Pointe-Noire à 14 heures: ASP-Cara et à 16 heures : FC Bilombé- Diables noirs et au stade Denis Sassou-N’Guesso à Dolisie à 15 heures 30 : AC Léopards-.V Club.

    24e journée 

    Vendredi 29 août au stade Alphonse-Massamba-Débat à 15 heures 30 : Interclub-ASP

    Samedi 30 août au stade Alphonse-Massamba-Débat à 14 heures : Patronage Sainte-Anne- AS Cheminots et à 16 heures :JST-Cara. Au Complexse sportif de Pointe-Noire à 15 heures30 : Nico-Nicoyé-Étoile du Congo

    Dimanche 31 août au stade Alphonse-Massamba-Débat à 14 heures : Tongo FC- AC Léopards et à 16 heures : Diables noirs- La Mancha. Au Complexe sportif de Pointe-Noire à 14 heures : FC Bilombé-SMO et à 16 heures : V Club-FC Kondzo

    25e journée 

    Vendredi 5 septembre au stade Alphonse-Massamba-Débat à 15 heures 30 : Patronage Sainte-Anne-ASP

    Samedi le 6 septembre au stade Alphonse-Massamba-Débat à 14 heures : SMO- Nico-Nicoyé et à 16 heures : FC Kondzo-FC Bilombé. Dimanche 7 septembre au stade Alphonse-Massamba-Débat à 14 heures : Etoile du Congo-La Mancha et à 16 heures :Cara-Interclub. Au Complexe sportif de Pointe-Noire à 14 heures : AS Cheminots-Tongo FC et à 16 heures : V Club-Diables noirs. Au stade Denis-Sassou- N’Guesso à Dolisie à 15 heures 30 : AC Léopards-JST

    26e journée 

    Vendredi 12 septembre au stade Alphonse-Massamba-Débat à 15 heures 30 : JST- Tongo FC

    Samedi le 13 septembre au stade Alphonse-Massamba-Débat à 14 heures : FC Kondzo-Patronage Sainte-Anne et à 16 heures : Interclub-Etoile du Congo. Au Complexe sportif de Pointe-Noire à 15 heures 30 : Nico-Nicoyé-ASP

     Dimanche 14 septembre au stade Alphonse-Massamba-Débat à 14 heures : SMO-VClub et à 16 heures :Diables noirs-Cara. Au Complexse sportif de Pointe-Noire à 14 heures : La Mancha-FC Bilombé et à 16 heures : AS Cheminots-AC Léopards.

    27e journée 

    Vendredi 19 septembre au stade Alphonse-Massamba-Débat à 15 heures 30 : JST-  FC Kondzo

    Samedi le 20 septembre au stade Alphonse-Massamba-Débat à 14 heures : Patronage Sainte-Anne- Cara et à 16 heures : Tongo FC-Etoile du Congo. Dimanche 21 septembre au stade Alphonse-Massamba-Débat à 14 heures : Interclub –VClub et à 16 heures : SMO-Diables noirs. Au Complexe sportif de Pointe-Noire à 14 heures : La Mancha-AS Cheminots et à 16 heures : FC Bilombé-ASP.  Au stade Denis- Sassou-N’Guesso à Dolisie : AC Léopards-Nico-Nicoyé

    28e journée 

    Vendredi 26 septembre au stade Alphonse-Massamba-Débat à 15 heures 30 : JST-  Patronage Sainte-Anne

    Samedi le 27 septembre au stade Alphonse-Massamba-Débat à 14 heures : SMO- Interclub et à 16 heures :Etoile du Congo-V Club. Au Complexe sportif de Pointe-Noire à 15 heures 30 : Nico-Nicoyé-La Mancha Dimanche 28 septembre au stade Alphonse-Massamba-Débat à 14 heures : Cara-Tongo FC et à 16 heures : Diables noirs-FC Kondzo. Au Complexe sportif de Pointe-Noire à 14 heures : AS Cheminots –FC Bilombé et à 16 heures : ASP-AC Léopards. 

    29e journée 

    Samedi le 4 octobre au stade Alphonse-Massamba-Débat à 14 heures : Tongo FC –Patronage Sainte-Anne et à 16 heures : FC Kondzo-Etoile du Congo. Au Complexe sportif de Pointe-Noire à 14 heures : ASP-La Mancha et à 16 heures : V Club-JST  Dimanche 5 octobre au stade Alphonse-Massamba-Débat à 14 heures : Cara-SMO et à 16 heures : Interclub-Diables noirs. Au Complexe sportif de Pointe-Noire à 14 heures : AS Cheminots –Nico-Nicoyé et à 16 heures : FC Bilombé-AC Léopards. 

    30e journée 

    Vendredi 10 octobre au stade Alphonse-Massamba-Débat à 15 heures 30 :   Patronage Sainte-Anne-Interclub

    Samedi le 11 octobre au stade Alphonse-Massamba-Débat à 14 heures : SMO- FC Kondzo et à 16 heures : JST- Étoile du Congo. Au Complexe sportif de Pointe-Noire à 15 heures 30 : Nico-Nicoyé-FC Biombé Dimanche 12 octobre au stade Alphonse-Massamba-Débat à 14 heures : Tongo FC –Diables noirset à 16 heures : Cara-V Club. Au Complexe sportif de Pointe-Noire à 14 heures : La Mancha-AC Léopards et à 16 heures : ASP-AS Cheminots. 


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique